
L'Ancienne-Gare, c'est un stamm incontournable de Fribourg, un café, un espace culturel, un lieu de rencontre, mais aussi la maison de trois acteurs culturels : le Nouveau Monde, le Festival International du Film de Fribourg (FIFF) et le Belluard Bollwerk. Les 3 associations basées dans le bâtiment de l’Ancienne Gare te donnent rendez-vous le 16 janvier prochain pour une soirée de célébration entre performances, concerts, films et dj sets! Cette année, et parce que la culture n’est jamais détachée des contextes politiques qui l’encadrent et l’influencent, nous avons choisi les mots d’ordre « résilience, héritage, mémoire et identité » pour fêter avec vous.
16h | Goûter pour les enfants
17h | Le Petit FIFF: "Pour l'amour du dessin animé"
Prêts pour un saut dans le temps ? Le Petit FIFF fait découvrir aux enfants les tout premiers dessins animés, ces petits bijoux qui en ont inspiré tant d'autres ! Une expérience joyeuse, créative et 100% famille.
18h | Discours par le président de l'association Matthieu Loup, verre offert et performance de Margaux Huber
Performance de Margaux Huber: "J'ai mis une cravate pour l'occasion"
19h | JIDAR: Spectacle d'Aws Al-Zubaïdy
La performance de l’artiste Aws Al-Zubaïdy, interprétée en duo avec l’acteur Shebli Albau, explore la manière dont les crises que nous traversons façonnent nos identités. Avec humour et musique, la pièce examine comment la peur, qu’elle soit enracinée dans des souvenirs ou qu’elle soit liée à des menaces actuelles, peut agir comme un mur invisible qui modifie notre vie et nos interactions.
21h | FIFF: Fribourg depuis les 4 coins du monde
21h30 | Ortie / اختي
22h30 | After by ElectroTeta
00h | After by Doracell


Ortie / اختي résonne comme un écho. En français, l’ortie est une plante sauvage et piquante, mais prononcé ainsi, « okhti » signifie aussi « ma sœur » en arabe. Né d’un profond désir de retour aux racines, Ortie / اختي tisse des liens entre des territoires intimes et des traditions oubliées. Les quatre artistes se réapproprient leurs langues ancestrales (Italien, arabe, turc, patois, kurde et chaldéen) et ravivent des chansons anciennes et des berceuses murmurées à travers le temps en les traduisant musicalement dans le présent.


ElectroTeta, c’est la grand-mère libanaise qui a décidé de monter le son. Entre deux basses, elle vérifie si vous avez assez mangé ou si vous êtes bien habillé·e·s en partant. Et si vous ne dansez pas… disons qu’elle fera savoir qu’elle n’est pas très contente.


À la croisée d’une rage rythmique et d’une mélancolie vibrante, DORACELL puise son inspiration dans la mémoire musicale populaire de la région SWANA, tout en s’immergeant dans les profondeurs de l’électro-dark. À travers ses sets électrisants, elle provoque des collisions puissantes et éclectiques entre le shaabi et la rébellion des sonorités électroniques.